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Auteur du remarqué Abandonnée et de quelques courts-métrages à la flatteuse réputation (dont Aftermath et Genesis), Nacho Cerdà évoque son nouveau projet :
« Je suis actuellement en postproduction d'un documentaire appelé Coffin of Light, sur l'industrie du cinéma d'horreur espagnol des années 70. »
« Il inclut des interviews de Paul Naschy, Jess Franco, Amando de Ossorio, Narciso Ibañez Serrador et beaucoup d'autres. Il suit Sergio del Monte, chef opérateur devenu réalisateur, qui a été mystérieusement assassiné trois jours après le début du tournage de son premier film, apparemment à cause de certains problèmes relatifs au film. »
« D'après les faits, il utilisait une technique d'éclairage extrêmement révolutionnaire pour montrer une réalité alternative, que vos yeux ne peuvent voir. Après sa mort, quelques producteurs impliqués dans le projet sont aussi morts d'une tumeur au cerveau après avoir vu les premières images. A ce stade du documentaire, l'on suspecte qu'en réalité ces morts sont causées par des groupes d'extrêmes droites, qui après la mort de Franco, avait peur que le régime s'écroule et ont donc procédé à un vague de meurtres pour le préserver. C'est un thème très intéressant qui a toujours été exploré par le cinéma. »
Un projet des plus alléchants donc, aux forts aspects de docu-fiction bien torturé, pour l'un des petits génies du cinéma d'horreur ibérique contemporain.
Source : bloody-disgusting.com
« Je suis actuellement en postproduction d'un documentaire appelé Coffin of Light, sur l'industrie du cinéma d'horreur espagnol des années 70. »
« Il inclut des interviews de Paul Naschy, Jess Franco, Amando de Ossorio, Narciso Ibañez Serrador et beaucoup d'autres. Il suit Sergio del Monte, chef opérateur devenu réalisateur, qui a été mystérieusement assassiné trois jours après le début du tournage de son premier film, apparemment à cause de certains problèmes relatifs au film. »
« D'après les faits, il utilisait une technique d'éclairage extrêmement révolutionnaire pour montrer une réalité alternative, que vos yeux ne peuvent voir. Après sa mort, quelques producteurs impliqués dans le projet sont aussi morts d'une tumeur au cerveau après avoir vu les premières images. A ce stade du documentaire, l'on suspecte qu'en réalité ces morts sont causées par des groupes d'extrêmes droites, qui après la mort de Franco, avait peur que le régime s'écroule et ont donc procédé à un vague de meurtres pour le préserver. C'est un thème très intéressant qui a toujours été exploré par le cinéma. »
Un projet des plus alléchants donc, aux forts aspects de docu-fiction bien torturé, pour l'un des petits génies du cinéma d'horreur ibérique contemporain.
Source : bloody-disgusting.com
