Les organes manquants, comme par hasard, seraient ceux qui auraient permis aux légistes du parquet de Bruxelles de déterminer si Juvénal Uwilingiyimana est ou n'est pas mort noyé dans le canal et s'il était vivant ou déjà décédé quand son corps a touché l'eau.
Le parquet de Bruxelles se refuse à tout commentaire. Nous précisons donc que nos informations ne sont pas officielles.
Hier en fin d'après-midi, l'avocat de la famille, Sven Mary, nous autorise à préciser qu'il dispose lui aussi d'informations indiquant que l'autopsie a constaté l'absence de l'estomac et des poumons.Me Mary fait état aussi d'avant-bras comme réduits à l'état de moignons, sans les mains, donc, comme si celles-ci avaient été coupées, mais ce n'est pas précisé si le corps a été mutilé ou si l'absence des mains s'explique par le travail des péniches, des hélices d'une précision de chirurgien, et la disparition des organes par les rongeurs et les poissons qui auraient su exactement comment empêcher les enquêteurs de répondre aux bonnes questions.
La famille choquée par le communiqué du TPIR
En octobre et début novembre, Juvénal était interrogé par une équipe d'enquêteurs du Tribunal pénal international pour le Rwanda.À l'annonce de l'identification du corps, le TPIR a diffusé un communiqué prétendant que Juvénal, de son vivant, avait exprimé » ses inquiétudes concernant les dangers que sa famille et lui pourraient encourir» de la part de «personnes puissantes dans la communauté rwandaise en exil» quand «il dirait la vérité sur les responsables du génocide de 1994».
Contactée hier par nos soins, la famille de Juvénal se dit choquée par ce communiqué mensonger.
Juvénal Uwilingiyimana ne craignait pas la communauté rwandaise, dit-elle, mais bien le... Tribunal pénal international, ou plutôt ses procédés, la façon dont ses enquêteurs ont procédé pour le forcer à dire ce qu'il ne voulait pas dire parce que pour lui ce n'était que manipulations de l'Histoire et ne correspondait pas à sa vérité.
Ensuite, le Tribunal pénal international affirme avoir pris » des mesures extraordinaires» - le Rwandais était interrogé à Lille - pour rester discret. La famille dit qu'en fait Juvénal n'a pas eu le choix. Il voulait, lui, être interrogé à Bruxelles, dans les règles, et pas dans une chambre d'hôtel.
S'agissant de la discrétion, la famille ajoute que le TPIR ne manque pas de toupet: trois jours avant sa disparition, tout le monde a su à la buvette de la gare de Lille, par la faute des enquêteurs, dit la famille, qui était Uwilingiyimana et ce qu'on lui reprochait au Rwanda, et qu'il niait.
Nous savons qu'une réunion importante - il le fallait, une veille de Noël - s'est tenue au parquet de Bruxelles.
Source : dhnet.be
En tout cas, si il a fait la même chose avec des milliers d'innocents, c'est bien fait pour sa gueule !
Le parquet de Bruxelles se refuse à tout commentaire. Nous précisons donc que nos informations ne sont pas officielles.
Hier en fin d'après-midi, l'avocat de la famille, Sven Mary, nous autorise à préciser qu'il dispose lui aussi d'informations indiquant que l'autopsie a constaté l'absence de l'estomac et des poumons.Me Mary fait état aussi d'avant-bras comme réduits à l'état de moignons, sans les mains, donc, comme si celles-ci avaient été coupées, mais ce n'est pas précisé si le corps a été mutilé ou si l'absence des mains s'explique par le travail des péniches, des hélices d'une précision de chirurgien, et la disparition des organes par les rongeurs et les poissons qui auraient su exactement comment empêcher les enquêteurs de répondre aux bonnes questions.
La famille choquée par le communiqué du TPIR
En octobre et début novembre, Juvénal était interrogé par une équipe d'enquêteurs du Tribunal pénal international pour le Rwanda.À l'annonce de l'identification du corps, le TPIR a diffusé un communiqué prétendant que Juvénal, de son vivant, avait exprimé » ses inquiétudes concernant les dangers que sa famille et lui pourraient encourir» de la part de «personnes puissantes dans la communauté rwandaise en exil» quand «il dirait la vérité sur les responsables du génocide de 1994».
Contactée hier par nos soins, la famille de Juvénal se dit choquée par ce communiqué mensonger.
Juvénal Uwilingiyimana ne craignait pas la communauté rwandaise, dit-elle, mais bien le... Tribunal pénal international, ou plutôt ses procédés, la façon dont ses enquêteurs ont procédé pour le forcer à dire ce qu'il ne voulait pas dire parce que pour lui ce n'était que manipulations de l'Histoire et ne correspondait pas à sa vérité.
Ensuite, le Tribunal pénal international affirme avoir pris » des mesures extraordinaires» - le Rwandais était interrogé à Lille - pour rester discret. La famille dit qu'en fait Juvénal n'a pas eu le choix. Il voulait, lui, être interrogé à Bruxelles, dans les règles, et pas dans une chambre d'hôtel.
S'agissant de la discrétion, la famille ajoute que le TPIR ne manque pas de toupet: trois jours avant sa disparition, tout le monde a su à la buvette de la gare de Lille, par la faute des enquêteurs, dit la famille, qui était Uwilingiyimana et ce qu'on lui reprochait au Rwanda, et qu'il niait.
Nous savons qu'une réunion importante - il le fallait, une veille de Noël - s'est tenue au parquet de Bruxelles.
Source : dhnet.be
En tout cas, si il a fait la même chose avec des milliers d'innocents, c'est bien fait pour sa gueule !