Retour au siteMy Blueberry Nights devrait nous arriver le 6 juin prochain, et si l'on en croit le planning Studio Canal nous serons particulèrement gâtés. L'éditeur prévoit en effet la sortie d'un DVD simple, d'un collector, et de versions haute définition. Signe des temps sans doute, le film est annoncé à la fois sur HD DVD et sur Blu-ray, ce qui en fait la deuxième entorse de Studio Canal à son format HD de prédilection. Pas d'infos ni de visuels pour l'instant, espérons un contenu et surtout une qualité d'image à la hauteur pour l'arrivée de Wong Kar Waï en haute définition.
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My Blueberry Nights
oli- Modérateur
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On en sait un peu plus sur les deux éditions DVD et la version Blu-ray du film My Blueberry Nights de Wong-Kar Waï, toutes trois attendues le 3 juin prochain chez Studio Canal. En DVD, My Blueberry Nights sera présenté au format 2.35:1 avec pistes anglaises et françaises en 5.1 et Stéréo, sous-titres dans notre langue, et bande-annonce. L'édition collector embarquera un second disque sur lequel on trouvera les segments "10 279 miles since Hong-Kong" et "Cannes-Lyon-Paris", et "Le film vu par des critiques". En haute définition, enfin, le film sera proposé en 1080p avec piste anglaise en DTS-HD Master Audio 5.1 et piste française en DTS Hi-Resolution 5.1. On ne sait encore pas si cette version contiendra les suppléments du collector. Voici les visuels :
Eldorion- Administrateur
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Le test dvd de l'édition belge (simple) rédigé par Laurent T. :
http://dvdbelgorama.wifeo.com/my-blueberry-nights.php
http://dvdbelgorama.wifeo.com/my-blueberry-nights.php
Laurent T.- Modérateur
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En tout cas, le film est une énorme déception, surtout quand on adore Wong Kar Wai et que l'on considère (c'est mon cas) In the Mood for Love et 2046 comme des monuments du cinéma asiatique.
L'incursion de Wai à Hollywood donne quelque chose de boursoufflé, avec une mise en scène sans relief et propre à 95% des productions indépendantes américaines.
Heureusement que le casting sauve le film du néant absolu.
L'incursion de Wai à Hollywood donne quelque chose de boursoufflé, avec une mise en scène sans relief et propre à 95% des productions indépendantes américaines.
Heureusement que le casting sauve le film du néant absolu.
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