Sinon, pour revenir au sujet de départ :
Die Hard 4.0 (2007 - Len WISEMAN)
Yippie-ka-yeah, McClane est de retour, toujours au mauvais endroit au mauvais moment pour tout faire pèter ! Après douze ans d'absence, on se demandait comment a évolué le personnage, son comportement dans un monde à la pointe de la technologie et sans cesse menacé par des terroristes.
Il faut bien avouer qu'avec Len Wieseman derrière la caméra, une interdiction aux moins de 13 ans sur le territoire US (les trois premiers étaient interdits aux moins de 17 ans), sans oublier les récentes daubes dans lesquelles a joué l'ami Bruce (si on excepte Sin City et les deux premiers films de M.Night Shyamalan), on avait le droit de craindre beaucoup de ce quatrième épisode du flic le plus têtu mais surtout le plus attachant de l'histoire du cinéma d'action.
Après 2 H 20 de projection, on sort avec le sourire et une envie d'y retourner car les craintes étaient inutiles et un constat s'impose : Die Hard 4 est une très belle réussite. Cette fois-ci, McClane ne doit pas affronter des terroristes mais bien des hackers qui plongent les Etats-Unis dans le chaos total : plus d'éléctricité, plus d'eau, plus de téléphones, plus de télévision; tout ça parce que le "bad guy" de service s'est fait remballé lorsqu'il était de service à la NSA mais McClane décide de leur faire la peau quand sa fille se fait enlever par les pirates avides de reconnaissance.
Wieseman a compris la formule Die Hard : de l'action, des explosions, du grand n'importe quoi à outrance et de la désinvolture en masse. Côté action, on en a pour son argent; le spectacle est assuré à merveille et n'arrête presque jamais. Le recours aux images de synthèse est un défaut car elles sont trop voyantes, surtout lorsque McClane déglingue un F-35 sur l'autouroute, mais les autres cascades sont filmées et fabriquées à l'ancienne, nous rappelant parfois le premier épisode.
Bruce Willis est en forme olympienne, il est heureux de pouvoir rempiler même si il est chauve et qu'il n'est plus en marcel, mais il est une fois de plus parfait dans son rôle d'anti-héros désabusé (la marque de fabrique des précédents épisodes).
Seuls défauts : pas de sang, peu d'injures (rassurez-vous, le "yippie-ka-yeah motherfucker" et bel et bien présent) et pas de situations apocalpytiques mais ne boudons pas notre plaisir, McClane revient en force avec un film d'action efficace et génial; espérons seulement que McTiernan revienne pour clôturer la saga en beauté.
Die Hard 4.0 (2007 - Len WISEMAN)
Yippie-ka-yeah, McClane est de retour, toujours au mauvais endroit au mauvais moment pour tout faire pèter ! Après douze ans d'absence, on se demandait comment a évolué le personnage, son comportement dans un monde à la pointe de la technologie et sans cesse menacé par des terroristes.
Il faut bien avouer qu'avec Len Wieseman derrière la caméra, une interdiction aux moins de 13 ans sur le territoire US (les trois premiers étaient interdits aux moins de 17 ans), sans oublier les récentes daubes dans lesquelles a joué l'ami Bruce (si on excepte Sin City et les deux premiers films de M.Night Shyamalan), on avait le droit de craindre beaucoup de ce quatrième épisode du flic le plus têtu mais surtout le plus attachant de l'histoire du cinéma d'action.
Après 2 H 20 de projection, on sort avec le sourire et une envie d'y retourner car les craintes étaient inutiles et un constat s'impose : Die Hard 4 est une très belle réussite. Cette fois-ci, McClane ne doit pas affronter des terroristes mais bien des hackers qui plongent les Etats-Unis dans le chaos total : plus d'éléctricité, plus d'eau, plus de téléphones, plus de télévision; tout ça parce que le "bad guy" de service s'est fait remballé lorsqu'il était de service à la NSA mais McClane décide de leur faire la peau quand sa fille se fait enlever par les pirates avides de reconnaissance.
Wieseman a compris la formule Die Hard : de l'action, des explosions, du grand n'importe quoi à outrance et de la désinvolture en masse. Côté action, on en a pour son argent; le spectacle est assuré à merveille et n'arrête presque jamais. Le recours aux images de synthèse est un défaut car elles sont trop voyantes, surtout lorsque McClane déglingue un F-35 sur l'autouroute, mais les autres cascades sont filmées et fabriquées à l'ancienne, nous rappelant parfois le premier épisode.
Bruce Willis est en forme olympienne, il est heureux de pouvoir rempiler même si il est chauve et qu'il n'est plus en marcel, mais il est une fois de plus parfait dans son rôle d'anti-héros désabusé (la marque de fabrique des précédents épisodes).
Seuls défauts : pas de sang, peu d'injures (rassurez-vous, le "yippie-ka-yeah motherfucker" et bel et bien présent) et pas de situations apocalpytiques mais ne boudons pas notre plaisir, McClane revient en force avec un film d'action efficace et génial; espérons seulement que McTiernan revienne pour clôturer la saga en beauté.